« Bzzt…Bzzt…pffiiiuuuu… »

Ce bruit étrange ?

C’est mon objectivité qui rend l’âme dès la première page d’Arcane XV, lorsque apparaissent ses inspirations revendiquées : Le Club Dumas d’Arturo Pérez-Reverte et son adaptation cinématographique, La Neuvième Porte. Deux œuvres que j’affectionne particulièrement. De quoi faire grimper mes attentes en flèche. Ce nouveau jeu-campagne, édité par Les XII Singes et écrit par Michael Maurat, parviendra-t-il à être à la hauteur de cette promesse envoûtante ?

Spoiler : oui, mais non sans quelques précautions.

Une entrée en matière immersive

Arcane XV est un jeu-campagne complet, c’est-à-dire que les règles, l’univers et le récit sont réunis (…)

Alors qu’on l’attendait chez les XII singes (tiens, d’ailleurs, il doit encore s’y trouver dans un planning en attente de sa coupe estivale, bien dégagée derrière les oreilles), Arkhanval, un nouveau jeu medfan de création francophone, débarque finalement chez Storyline, une nouvelle structure éditoriale fondée par Sébastien Célerin (Multisim, Rackham, Les XII Singes, JDR Mag’, etc.). Ce premier projet est en cours de foulancement et doit encore convaincre le public dans un marché pléthorique des jeux avec épées, boules de feu et oreilles pointues. C’est ce à quoi Sébastien et Jean-Marc Gilet, l’auteur rpincipal de Arkhanval vont s’employer dans cet entretien.

1. Vous vous doutez bien que vous n’allez (…)

Ce graphiste et developpeur web portugais travaille en ce moment pour Cubicle 7 comme graphiste, sur diverses gammes comme par exemple Warhammer.

Sur les Chemins de la Fin’Amor mêle poésie, érudition médiévale, mystique orientale et humour. Ce recueil inspiré par le jeu de rôle où entre croisades, amour courtois et contes détournés, Eugénie Dopagne transforme ses personnages en légendes poétiques

Le calme règne là où auparavant se dressait la haute tour de l’administration impériale. Le vent charrie la poussière et les cendres au gré de son envie. Comme pour effacer les luttes qui ici ce sont tenues. La chappe autoritaire de l’Empire a fini par avoir raison de la lâcheté de ses citoyens, ne leur laissant d’autre choix que d’accepter l’Aube de la Rébellion. Avant que les stormtroopers ne comprennent vraiment l’ampleur du phénomène, la population s’était rendue maîtresse des Starships et Speeders, ainsi que de tous les Gadgets et Équipements de leur armurerie. Une révolte rapide, implacable, qui n’a pas pu se faire sans violence, malgré l’espoir qu’il n’y ait Pas de Désintégration.

Heureusement, quelques Space Heroes ont pu se rendre maîtres des Big Bads avant que la rébellion (…)